• Chapitre 38

     

    Je me réveille, et pour une fois de puis 1 semaine, je suis heureuse, je n'ai plus envie de pleurer.

    Je mets des musiques des One Direction (Car j'adore ce groupe) et je me prépare.

     

    Je file au lycée le sourire au lèvre .

    J'arrive devant le portail et voit mes ami(e)s qui m'attendent. Je les rejoins.

    -Tiens qui voilà.

    -Salut.

    -Coucou.

    -Ma Chipie vient me faire un câlin.

    -Tu es pire qu'un gamin.

    Ils me faisait bien rigolé je dois l'avoué. Je fis son câlin à Aaron et fini de dire bonjour a tout le monde. Je vois un livre dépasser du sac de Léon. Il me semble le reconnaître. Je le sort un instant et l'observe, il ne me fallut pas longtemps pour me rappeler ou je l'avais vu.

    -C'est ton livre de blagues, tu le lisais et relisait quand nous étions petit.

    -C'est vrai.

    -Oui.

    -Tu t'en souviens.

    -Bien sûre.

    -Tu n'as peut être pas un cerveau de la taille d'un poisson rouge.

    Je me suis retournée et il ma prit par les hanches et ma fait volé comme une gamine.

    -Hey !!!

    -Tu t'en rappelle de ça aussi ? Me demanda-t-il un sourire en coin.

    -Bien sûre... ronfleur.

    -Hey, arrête j'aime pas quand tu m'appelles comme ça dit-il en boudant.

    -Aller boude pas .

    -Un deuxième gamin.

    -C'est qu'elle est jalouse la mimi.

    -Je suis pas jalouse.

    -Jalouse ou pas n'empêche qu'elle à raison.

    -Ouai.

    -Vous avez pas fini dirent d'une seule et même voix Aaron et Antony.

    On rigola tous.

    Lorsque deux mains ce sont posées sur mes yeux et un torse se colla a mon dos.

    Pas besoin de ce demander de qui il sagit, je le savais déjà.

    -Maxime...

    Il enleva ses mains de mes yeux me permettant de retrouver la vue et les plaça sur mes hanches puis m'enlaça  et posa sa tête sur mon épaule et déposa un bisou sur ma joue .

    Ils nous regardaient tous avec un sourire qui en disait long sur leur pensées.

    La sonnerie me sauva. Nous rentrons en cours.

    J'ignore pourquoi mais il y a pas mal d’agitation.

    Même dans la cour il y avait beaucoup plus de bruit que d'habitude, mais je n'y avait pas fait attention .

    Prise par la curiosité j'allais demander a quelqu'un la raison mais je me fis devancer.

    -Miguel.

    -Oui ?

    -Qu'est-ce-qui se passe ?

    -Hein vous êtes pas au courant ? Suis-je bête su tu me le demandes c'est que tu dois pas savoir. Ben en fait y a …

    Il n'a pas eu le temps de nous révéler la raison de tout ça car le professeur arriva. Nous sommes tous aller trouver nôtre place en nous taisant.

    -Bonjour.

    -Bonjour !

    -Aujourd'hui comme beaucoup d'entre vous sont au courant, nous accueillons un nouvel élève, je vous demanderais de bien vous comporter et de l'aider à s'intégrer. Je peux compter sur vous ?

    -Oui !!!

    -Bien ! , Jules tu peux entrer.

    Un jeune homme, qui je dois bien l'avouer assez mignon est entré. Il est brun avec des yeux jaune/orange/marron. Et on peut le voir c'est un garçon qui a l'air mystérieux.

     

    Il alla rejoindre le professeur au tableau.

    -Bon voici vôtre nouveau camarade de classe, il s’appelle Jules.

    -Bonjour, je suis ravi de faire vôtre connaissance.

    -Nous aussi !

    J'ignorai pourquoi mais son regard c'est arrêter sur moi .

    Je ne fus pas la seule a le remarquer, certain élèves ce sont retournés vers moi. Je voyais Maxime le regardait bizarrement.

    -Très bien va t'asseoir a coter de Miguel.

    -Bien monsieur.

    Il s’exécuta.

    On pouvait entendre tout le monde chuchoter sur notre nouveau camarade. Du style :

    -Tu as vu comme, il est beau.

    -Un véritable dieu grec.

    -Je le veux.

    -Tu crois qu'il a une copine ?

    -Je crois que je suis amoureuse, le coup de foudre.

    -Il est trop mignon.

    -Tu as vu son regard, trop craquant … etc du côté des filles.

    -Et c'est partit les filles commence déjà.

    -Tu as vu comme il se la pète.

    -Il vient juste d'arriver et il va avoir déjà toute les filles à ses pieds.

    -J'en connais qui vont avoir de la concurrence.

    -J'avoue. … etc du côté des garçons.

    Je pus aussi remarqué que certaine personne ne s'intéressait pas lui et préfère parlé de moi et Maxime ou d’autre qui en était venu à parlé de nous en ayant commencer par Jules. Je pu entendre un bot de conversation.

    -Maxime il va avoir de la concurrence.

    -Pourquoi tu dis ça ?

    -Ben il est le mec le plus populaire du lycée.

    -Ouai mais je crois qu'il s'en fou .

    -Oui mais Éléonore il s'en fou pas.

    -Je vois pas ou tu veux en venir.

    -Tu vas voir.

    Il se retourna et appelé Élisa une fille de la classe.

    -Oui quoi ?

    -Éléonore et Maxime ils sont ensemble ?

    -Ben non pas que je saches.

    -OK merci.

    -Donc ils sont pas ensemble, le nouveau débarque il fait craquer toute les filles, et tu as vu comme il a regardé Éléonore. Si il la lui pique ça va pas lui faire plaisir moi je te le dis.

    -Moi je pense pas qu'il est beaucoup de soucis à te faire.

    -Ah oui et pourquoi ça ?

    -Parce que on la connaît pas vraiment mais je pense pas qu'elle laissera Maxime tout simplement.

    -Je suis d'accord avec lui, il est peut être canon Jules, et même si il venait à piquer sa popularité à Maxime je pense pas qu'il arrivera à lui piquer Éléonore, même si il si met à fond, il peut toujours courir. Elle est inaccessible sauf pour Maxime. Ça se voit comme le nez au milieu de la figure.

    -Tu as peut être raison. On verra bien.

    Élisa remarqua que je la regardait et elle me sourit, sourire que je lui est rendu. Élisa est une fille de la classe que j'aime bien elle est sympa, on est souvent dans la même équipe en sport. Elle m'avait bien cerné même si on ne se connaît pas beaucoup. Pour la remercier de son intervention et lui montré qu'elle avait raison. J'allai faire se frôler ma main à celle de Maxime mais apparemment il allait faire la même chose, on c'est regardé et nous avons souri, il ma finalement prit la main, j'ai lancé un regard à Élisa, elle nous regardait et articula sans parlé «  Trop mignon » Je sourit, puis elle articula une autre phrase :

    « Vous êtes ensemble ?» je lui répondit d'un signe de la tête que non. Elle fit une expression déçu.

    Le professeur demanda le silence et reprit son cour. La sonnerie fini par nous délivrer. Ayant commencer a 9h nous ayons récré, ce qui ne me déplaisais pas.

    Les autres nous on rejoins sous l'arbre ou nous allons souvent.

    -Hey !

    -Alors parait qui a un nouveau dans vôtre classe.

    -Il est mignon ?

    Émilie allait dire quelques chose mais voyant le regard de Antony sur elle et qu'il écouté ce qu'elle disait elle changea vite ce qu'elle allait dire.

    -Ben regardait-le.

    -C'est pas que je veux pas mais il est où ?

    -La-bas .

    Indiqua Maxime qui ne l'avais pas lâché du regard.

    -Tu surveilles Jules ?

    -Tu l'appelles par son prénom alors que tu ne le connais pas?

    Et non je ne le surveille pas c'est lui qui fait que te regardais.

    -Ben comment tu veux que je l'appelle?

    -Comment tu sais qu'il la regarde.

    -Maxime est jaloux !

    -N'importe quoi ! Et puis jaloux de quoi ?

    -Jaloux n'est pas le bon mot, il est méfiant.

    -Ben je le connais pas et il lâche pas des yeux Éléonore …

    Nous étions mal à l'aise... Mais Antony sauva le coup.

    -Ouai et faut dire qu'il est pas discret.

    -J'avoue il l'a pas lâcher des yeux.

    -Tu lui as taper dans l’œil .

    -Arrêter vos bêtise. Je ne connais que son prénom et puis voilà quoi . Il a le droit de me regarder , même si j’avoue que ça devient stressant.

    La sonnerie, retentit a nouveau . Déjà ? Et bien oui, des fois je me demande si la sonnerie n'est pas truqué .

    Nous nous levâmes. Les autres commencer a partir j'avançais quand tout a coup, je sentis deux bras m'enlacer, un souffle de respiration dans mon coup. Et des lèvres se poser dans mon coup pour y déposé un délicat baiser.


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  • Chapitre 37

     

    Le train arrive. Maxime regarde Éléonore dormir sur son épaule. Elle est paisible et semble entièrement heureuse. Il la sert encore un peu contre lui.

    Du côté de Maxime :

    Elle ressemble à un ange. Ma princesse, comment j'ai pu ne pas m'en rendre plus compte plus tôt. Je m'en veut tellement d'avoir agis comme ça, je l'ai fait souffrir.

    Retour du côté de Éléonore :

    Il se résigne finalement à la réveiller tout doucement.

    -Éléonore, le train arrive.

    Voyant qu'elle ne réagit pas il se remémore que elle peut avoir le sommeil vraiment très lourd.

    Il dépose un baiser sur sa joue et lui souffle tout doucement au creux de l'oreille.

    -Éléonore, il faut se réveiller, réveille toi ma petite princesse.

    Au doux son de la voix de Maxime, Éléonore finit par ouvrir délicatement les yeux pour voir le garçon qui l'a tant fait pleurer ces deniers jours auprès d'elle.

    -Ma petite marmotte.

    -Hey... Je suis pas une marmotte.

    -Je sais, tu ais bien plus mignonne mais tu as le sommeil lourd.

    -Je sais … Il faut avouer que je n'avais pas envie de me réveiller j'avais peur que tout ceci ne soit qu'un rêve.

    -Non, c'est entièrement réel.

    Nous avons souri. C'est hésitante que je me suis doucement rapprochée de lui, et me suis blottit dans ses bras. Depuis tout ce temps je rêvais du moment ou je pourrais à nouveau être dans ses bras. Quand je suis dans ses bras je me sens si bien, je me sens protéger et j'ai l'impression que rien de mal ne pourrais arrivé, je me sens m'envoler, je sens le bonheur monté en moi, je sens des papillons dans mon ventre tout comme à chaque fois qu'il me fait un bisou. Il fut un peu surprit par mon geste, il ne s'y attendait pas surtout que je ne prend pas souvent l’initiative de lui faire un câlin, mais il ne s'en plein pas et me serre un peu plus fort dans ses bras . On finit par se lâcher mutuellement à contre cœur puisque le train arrivait. Mais il déposa un baiser sur ma joue.

    Nous avons prit nos bagages ( pas grand chose ) et sommes descendu du train.

    Je vous laisses deviner ma surprise lorsque je vis tout mes amis...

    Lorsqu'ils nous aperçurent ils se jetèrent sur moi.

    -Éléonore !!!

    -Où tu étais ?

    -Tu aurais pu nous prévenir !

    -On c'est fait un sang d'encre.

    -On c'est vraiment beaucoup inquiéter.

    -Tu ne répondais pas au SMS.

    -Ni au coup de téléphone d'ailleurs.

    -Tu ne réfléchit vraiment a rien.

    -Tais-toi tu étais très inquiet toi aussi.

    Il ne répondit rien à ça.

    -Je suis vraiment et sincèrement désolée de vous avoir tous inquiéter. Ce n'étais pas mon intention.

    -Encore heureux.

    -Il est tard nous devrions rentré.

    -Oui.

    -Je peux te parler 2 secondes ?

    -Oui bien sûre.

    -Ce soir je ne dormirai pas à la maison.

    -Antony, je suppose.

    Elle devint rouge pivoine, je n'avais pas besoin qu'elle me réponde.

    -Profite bien et n'oublie pas de bien te blottir dans ses bras.

    -Arrêteeuuhhhh !!!

    -Je te taquine.

    -Je sais.

    Je la prit dans mes bras.

    -Je me suis beaucoup inquiéter.

    -Je sais je suis désolée. Bon file.

    -A plus .

    -Ouai.

    Deux bras mon tirai en arrière et je me retrouva contre le torse d'un garçon, il posa sa tête sur mon épaule.

    -Tu m'as vraiment inquiéter Chipie.

    -Je sais je suis désolée.

    -Ne me refais jamais ça tu entends.

    -Oui.

    -Tu me le promet ?

    -Oui c'est promit, si je venais à devoir m'absenter ou disparaître je te laisserai un message ou quelque chose ou même je répondrais aux SMS et au appels. Ça te vas ?

    -Mouais, je préférerai que ça recommence jamais mais c'est mieux que rien.

    -Je suis vraiment désolée de t'avoir inquiéter grand frère.

    -Oh , arrête sinon je pourrais pas t'en vouloir ni te faire la tête.

    Je rigola légèrement avant de lui faire un câlin et un bisou sur la joue.

    -Je t'adore.

    -Moi aussi je t'adore .

    -Bon je vais y aller.

    -OK a bientôt.

    Il me fit un bisou sur la joue et partit retrouvé Marinna.

    Léon et Antony s'approcha.

    -Bon retour parmi nous Lolita, me dit-il en me faisant un clin d’œil.

    -Ouai bon retour …

    -Merci farceur et merci a toi aussi ronfleur.

    -Vous aviez comprit ?

    -Moi quasiment de suite mais j'en ai pas parlé.

    -Moi il y a déjà quelques temps mais pas si longtemps que ça non plus.

    -Oui et il y a quelques jours il est venu m'en parlé.

    -Je vois . Je suis désolé de ne rien vous avoir dit.

    -Ne t'inquiète pas.

    -Pour tout te dire Aaron nous à surprit en train d'en parlé et nous à expliquer.

    -Ah .

     

    -Bon on te laisse, après tout cette semaine sans lui à été longue on va pas te retenir plus longtemps. 

    -Il a raison dépêche toi d'aller le retrouver.

    -Merci.

    Il me prirent dans leurs bras et me laissèrent avec Maxime.

    -Je te raccompagne tu viens ?

    -Il est tard, tu restes ?

    -Non, … pas ce soir.

    -D'accord...

    Il faut l'avoué j'étais déçu mais j'avoue que … je me sens étrange.

    Après être arrivé devant ma demeure il m'a prit dans ses bras et m'a serrée très fort, il ne me lâcha que quelque minutes plus tard, et m'embrassa... sur la joue (je suis méchante je vous fais attendre XD Que je suis méchante) et me souhaita un bonne nuit et a l'oreille me dit ces quelques mots:

    - Je tiens encore à m’excusai et ne part plus jamais comme ça...

    Puis il est partit.

    Je suis ensuite rentrée chez moi et suis montée me couché.

    La tête pleine de rêverie... Plus belle les unes que les autres.

     

     


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  • Chapitre 36

      

    Cela faisait déjà un moment qu'elle était là, assise au pied de cet arbre auquel elle avait grimper un grand nombre de fois, derrière lequel elle c'était caché …

    Elle regardée, touchée se souvenait et surtout revivait tout ses moments de bonheur qu'elle avait vécu autrefois.

    Des photos d'elle mais pas seulement, d'anniversaire de fête de bal d'elle avec des enfants des collègues de son père mais surtout d'elle avec Maxime, Antony et Léon mais en particulier Maxime.

    Une larme coula sur sa joue et s'écrasa sur une photo sur laquelle elle était souriante dans les bras de Maxime.

    -Pourquoi lui ais-je mentit ? Pourquoi ne pas lui avoir dit qui j'étais ? J'ai tout perdu, je l'ait perdu .

    -Non c'est faux.

     

     

    Du côté de Maxime :

    Je m'avance dans ce bois ou j'ai passer beaucoup de temps dans mon enfance.

    J'arrive dans cet endroit si beau ou nous allions …

    Elle est là, assise contre cet arbre, elle à plein de photo … autour d'elle, elle en tient une dans sa main .

    Mais … que , une lame coule sur sa joue et s'écrase sur la photo.

    -Pourquoi lui ais-je mentit ? Pourquoi ne pas lui avoir dit qui j'étais ? J'ai tout perdu, je l'ait perdu.

    Non, c'est faux, elle ne m'a pas perdu, c'est faux mais … c'est ce qu'elle doit croire à cause de mon attitude, pourtant ce n'est pas le cas, elle ne m'a pas perdu ...

    -Non c'est faux .

     

    Retournons du côté de Éléonore :

     

    Je me retourne vivement et le voit. Il est là en chair et en os.

    -Tu ne m'as pas perdu.

    Il avance vers moi. Cela fait longtemps qu'il ne m'a pas parlé, cela me fait bizarre.

    • C'est ma faute si tu crois ça, je t'en voulais tellement de ne pas m'avoir dit la vérité et je m'en voulais à moi même . Tu lui ressemblais tant, mais je n’ai pas pensé un instant que tu … Tu été là devant moi mais je n'ai rien vu. Il m'ait arrivé de me demander comment j'aurais agis avec elle car je ne savais pas comment agir avec toi, pour te réveiller par exemple je l'ai fait comme je l'ai fait autrefois. Je me suis sentit trahis, parce que j'avais l'impression de la trahir en agissant comme ça avec toi, j'avais l'impression de la trahir, de l'oublier même si ce n'était pas la cas, mais je me rends compte que je t'ai fait souffrir.

    • Co... Comment as-tu sus que je serai là.

    • Le poème, tu l'as perdu devant chez moi.

      Je mis instinctivement ma main dans ma poche, … Il n'est pas là.

    • Lorsque je l'ai lu j'ai reconnu ton écriture et a force de le lire encore et encore il est devenu clair tu ne pouvais être qu'ici, et donc je suis venu.

      Il s'approche encore et encore.

    • Ton poème était clair, je t'ai fait du mal, beaucoup de mal . Je ne te regardais plus ne te parlais plus, plus rien.  Les derniers vers était assez clair , le passé , notre enfance.

      Je pleurais ...

    • Oui ...

    • Pourras-tu me pardonner ?

      J'étais choquer, il s'excuser et … Mes larmes coulées a flot.

    • Éléonore …

    Je me suis jetée dans ses bras et il m'a serré dans les siens, comme avant.

    -Je suis vraiment désolé.

    -Moi aussi.

    -Pourquoi tu ne m'as rien dit ?

    -Et bien c'est compliqué.

    -J'ai besoin de comprendre.

    -D'accord, lorsque vous êtes partis, je me suis sentit anéantit, j'étais malheureuse, sans vie.

    Ma mère m'a forcé à sortir avec elle en ville, je n'ai pas eu d'autre choix. Je me suis fais renversée par une voiture. J'ai perdu la mémoire, quelques fragments son revenu mais le puzzle était loin d'être reconstruit. J'ai après cela demandé à mon père d’aménager seule dans une autre ville, j'avais besoin de  me reconstruire et ce n'était pas chez moi que j'y serai arrivée. Dans cette maison ou je ne pouvais pas faire un pas tranquille, ou ma mère m'empêcher de retrouver mon passé. Il était contre mais j'ai fini par le convaincre.

    Puis je t'ai rencontrer, au fur et à mesure tout m'est revenu.

    Mais si je ne t'ai rien dit c'est parce que , nous avions grandit et les gens changent donc j'ai préféré apprendre à te redécouvrir.

    -Je suis sincèrement désolé, je ne savais pas que tu avais autant souffert.

    Moi aussi j'ai été anéantit, j'avais perdu ma joie de vivre, mon cœur était fissuré. Je n'ai jamais perdu espoir de te retrouver mais déception après déception j'ai tout enfermer dans un coffre, je ne t'oublier pas mais … je voulais te garder pour moi en l'ouvrant je te retrouver je retrouver se que nous avions vécu en dehors j’essaye d'être heureux.

    Après tout j'aurais du te reconnaître.

    -Non , et puis maintenant c'est trop tard, cela fait partit du passé.

    -Oui. Et...

    Il c'est levé et c'est posté derrière moi lorsque j'ai voulu me retournée il m'a dit de ne pas bouger, je me suis donc exécuté.

    Il m'a passée un bijoux autour du cou.

    Mon collier...

    -Tu l'as perdu dans ma chambre.

    -Ah …

    Il a passé ses bras sur ma taille et ma serré bien fort conte lui.

    (Les bras de Maxime sur la taille de Éléonore).

     

    -J'ai vraiment été aveugle, la plage, le concourt on y était ensemble quand on était petit n'est-ce-pas ?

    -Oui.

    -Et, le poème... il était pour moi ?

    -Euh … et bien …

    -Sous les étoiles de la nuit

    Nous prenons un bain de minuit

    Ta présence efface tout mes ennuis

    Et tu hantes chacune de mes nuits.

     

    C'est dans les meilleures moments

    Que l'on souhaite demandé au temps

    De ne jamais s'arrêter

    Comme je ne cesserais jamais de t'aimer

     

    Je suis là pour toi

    Juste là à côté de toi

    Mais pourtant j'ai l'impression que tu ne me voie pas

    Il m'arrive d'avoir envie de te dire 'réveille-toi' !

     

    Regarde-moi

    Et peut être tu découvriras

    Que ce que tu cherchais

    A toujours été tout près.

     

    Je rougis immédiatement, il le connaissait mais en plus si je lui disait que oui les 2 première strophes étaient un peu comme si je lui disait que je l'aime. Je ne savais pas quoi lui dire.

    -Les deux dernières strophes … tu me passé un message que je n'ai pas su voir, tu me disais que tu étais là, juste sous mes yeux.

    -Oui...

    -Donc c'était bien pour moi ?

    -Et bien … euh … oui, dis-je dans un murmure.

    Il souria, me fit un petit bisou dans le cou en resserrant légèrement son étreinte.

    -Maintenant rentrons tout le monde s'inquiète pour toi.

    -D'accord.

    J'étais heureuse.

     

    Dans les train j'étais épuisée, il a envoyer un SMS pour prévenir Antony.

    Je me suis endormit contre son épaule, il ma sert un peu plus contre lui.

    -Je ne te laisserai plus jamais...jamais, je te le promets. 

     

     

    Si vous voulez la suite laissez des commentaires ^^

    Je remercie celle qui le font déjà et je demande au autres de faire un mini effort.


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  • Chapitre 35

     

    J'avais passé la nuit à pleurer. Bien sûre la plupart de mes amis étaient montés, mais j'avais refusé d’ouvrir de sortir et même de parlé. Je n'avais ni la force ni l’énergie, en fait je n'avais rien.

     

    Une semaine c'est écoulé et plus le temps passe plus je me sens accablée. Il ne me calcule pas. Son comportement envers moi n'a pas changé. Je sens mon cœur se détruire au fil du temps. Je n'ai jamais autant souffert. Je voudrais pouvoir sortir de cette torpeur de souffrance et de larme.

    J'étais en cours de français. Une est chose est sûre, s'il y a bien une chose que je ne faisais pas c'est bien écouté.

    J'écrivais, je mettais mes sentiments sur papier comme je l'ai toujours fait.

    (Avec un regard triste et perdu dans ses pensées)

     

    Je souffre en silence

    Pour moi la vie n'a plus aucun sens,

    Mon monde tourne autour de toi

    Et c'est avec mes larmes que part ma joie.

     

    La tristesse m'a envahie

    Et j'ai l'impression que c'est pour la vie,

    Malgré les efforts personne ne comprends

    Ce que je ressens réellement.

     

    C'est derrière un masque souriant que j'essaye de ma cacher

    Car je ne veux pas les inquiéter,

    Tout au fond de moi plus rien ne va

    Depuis que tu fait comme si je n'étais pas là.

     

    Si tu savais combien j'ai pleurer

    Souhaitant que cela ne recommence plus jamais,

    Pourtant mon cœur se rebrise

    A la vitesse que le temps file.

     

    Je veux repartir la bas

    Dans la passé,

    Ou tout a commencer

    Pour qu'à nouveau je sois dans tes bras.

     

    La sonnerie retentit enfin, la semaine se termine enfin. C'est décidé je veux y retourné.

    Je rentre chez moi, mais je passe une dernière fois devant chez lui, celui qui brise mon cœur .

    Je rentre, je fais mes valises, et commande une pizza je n'ai pas la force de cuisiner ce soir.

    Ma soirée se passe comme toute celle que j'ai passé depuis ce jour.

     

    Le lendemain :

    Ce matin je le suis levée tôt, je me suis préparé :

     

    (Sans le sac, et la bague)

    Puis me suis rendu a la gare et je prends mon train.

    Je suis dans le train, je vois le paysage défilé, je ne dors pas beaucoup depuis un moment et a force d'accumulation de fatigue je m’assoupis. De toute façon je n'arriverai que dans quelques heures, et dormir est une façon comme les autres de faire passer le temps.

     

    Du côté de Maxime :

    Encore un week-end infinissable. Mon portable sonne et je décroche...

    -Allô ?

    -Oui Maxime je t'appelle parce que Éléonore à disparu, elle a dit au filles hier qu'elle n'avait rien de prévu et elle n'est pas chez elle. Et puis tu la connais à cette heure elle devrait être au lit en train de roupiller.

    -Oui et alors ?

    -Arrête ton comportement de gosse, oui elle t'a  caché la vérité , mais si elle a fait ça c'est pour attendre un peu et te redécouvrir. Tu ne sais même pas ce qui lui est arrivé, comment elle a vécu nôtre départ alors arrête. Tu sais combien j'aime la faire chier et que je ne la défend pas mais là . Donc si tu la vois ou autres préviens nous on s'inquiète nous, parce que toi tu l'as peut être oubliée mais nous pas et on tient à elle .

    Puis Antony raccrocha.

    Maxime réfléchissez encore et encore.

    Il n'y avait que du vrai dans ce qu'il a dit.

    Depuis qu'elle lui avait révélé la vérité il ne lui parler plus, il ne l'a regarder que discrètement du coin de l’œil de façon à ce qu'elle ne le remarque pas. Il l'observer perdu dans ses pensées, triste , il lui en voulait, mais il s’en voulait également à lui même. Depuis qu'elle était arrivé il avait l'impression de trahir, d'oublier la petite fille qu'il avait connut, il s'en voulait de découvrir des sentiments naître en lui pour cette ravissante, adorable … jeune fille qui du jour au lendemain était apparut dans sa vie et avait un peu tout bousculé.

    Maxime passa une bonne partie de la journée chez lui. Puis il décida de sortir vers 15H00.

    Lorsqu'il sortit il vit un petit papier blanc, il l'ouvrit...

    -Aucun doute il sagit de l'écriture de Éléonore et … elle a du pleurer on voit la trace de larme.

    Il la lit et commence sérieusement à penser qu'il a été idiot … Il l'aime, oui il lui en veut mais ce n'est pas une raison pour agir comme il l'a fait et surtout pour la faire souffrir ainsi.

    Il réfléchit et se rappelle tout à coup le coup de téléphone de Antony.

    -Disparu …

    Il relit encore et encore ce poème.

    -Elle a du le laisser tomber mais quand ? … Non pas possible elle n'aurai quand même pas …

    Il retourne chez lui prépare des affaires et part en direction de la gare en quatrième vitesse.

    Il envoi un message à Antony :

    J'ai trouver un poème devant chez moi, elle a du le faire tomber. Je crois savoir ou elle est, je part la chercher.

    Arriver à la gare il prends son train pour la rejoindre.

     

    Du côté de Éléonore :

    Il est 14H00 et elle est partit à 9H00 et pendant les 5 heures de rail (ben quoi) elle a dormit.

    -Me voilà enfin arriver.

    Elle part à pied, pas question de prendre un taxi.

    Il lui faut 2H00 pour rejoindre le lieu pour lequel elle a fait tout ce voyage.

    Après ce très long moment de marche à pied et quelques pose entre, elle est enfin arrivée. Elle se retrouve devant ce qui fut pour elle un endroit de joie. Elle était heureuse de revenir, elle voyait ses souvenirs défilés devant elle mais dans cette nostalgie il y avait bien évidement du bonheur mais aussi de la tristesse, la tristesse qu'elle avait ressentit quand ils c'étaient quitté, mais aussi en repensant à la situation qu'elle vivait.. Elle rentre dans la propriété, et se dirige vers un coin particulier du jardin, elle passe derrière un buisson et arrive devant une porte. Une entrée, elle et les garçons avaient autrefois chercher tout les passages secrets qu'il puisse y avoir et ils en avait trouvé un bon nombre. Une fois dans l’immense demeure, elle visite ou plutôt revisite ce qui fut été la maison de Maxime et Léon et en quelques sortes celle de Antony. Une fois terminer elle ressort par une porte qui donne sur l’arrière de la demeure. Elle se dirige vers le petit bois qui se trouve face à elle. Ce bois dans lequel elle a passé beaucoup de temps. Elle s’assoit au pied d'un arbre et sort d'un des sacs qu'elle a emporter, tout plein de souvenirs en tout genre, photo, lettre, dessin ...

     

    Pendant ce temps du côté de Maxime :

    Il était arrivé à la gare. Le train avait du retard et avait eu quelques problèmes en route ce qui ne faisait pas son affaire. C'est à 21H00 qu'il arrive . Il part en direction de l'endroit ou il a passer son enfance. Il trouve finalement un taxi qui le conduit au lieu souhaiter. Il arrive à 22H45. Tout comme Éléonore l'a fait précédemment il entre dans cette battisse ou il a grandit, cela lui fait tout drôle. Il monte dans la pièce qui fut autrefois sa chambre. Son attention fut capté par un objet qui brillait. Il se rapproche et le ramasse. Il fut un peu étonnés. Ce bijoux, c'est l'autre partie du cœur qu'il porte autour du coup. C'est donc celui de Éléonore, ce qui confirme ces pensées, elle est bien là elle aussi.

    -Si le collier est là, elle ne doit pas être loin, je sais qu'elle ne sans sépare jamais. Je pense savoir où elle se trouve, j'en suis même certain.

    Il descend les escalier qu'il eu emprunter quelques secondes auparavant , et sort a son tour pour rejoindre le petit bois...

    ( Je m'excuse auprès de mes prevenues, mais ma boite de message ne veut pas s'ouvrir, désolé)


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  • Chapitre 34

     

    J'étais paralysé, j'avais peur. De quoi, Demandez vous ? De le perdre tout simplement.

    Je l'aime, je ne veux pas le perdre, j'ai peur qu'il le prenne mal, qu'il … il existe tant de réaction qu'il pourrait adopté lorsque je lui révélerai la vérité.

    Je suis maintenant certaine que c'est lui, je lui ai mentit pendant tout ce temps, après tout s'il m'en voulait, cela serai normal.

    -Éléonore ?

    Il s'approche de moi, je dois faire une drôle de tête. Je ne sais que faire . Reculé, partir, m'enfuir ou bien tout lui révélé. Pourquoi la vie, les choix doivent être si compliqué ?

    -Éléonore tu es là ?

    Je me retourne vers l'entrée du balcon et vois Aaron qui me cherchait.

    -Ah tu es là … je vous dérange … ?

    -Euh … non, non.

    -Tu voulais ?

    -Ah oui je voulais te parlé, mais si tu es occupé je peux attendre.

    Je me retourne vers Maxime.

    -Vas-y.

    J'hoche la tête en signe d'approbation.

    Nous nous dirigeons dans un coin de la grande salle pour être tranquille.

    -Tu voulais ?

    -Rien en particulier, mais je te voyais et je me suis dit que tu avais peut être besoin d'aide j'ai hésité à agir mais bon …

    -...

    -Je n'aurais pas dû ?

    -Je ne sais pas .

    -Comment ça.

    -Pendant que nous faisions les montagnes russes j'ai vu le collier autour de son cou. Je voulais lui parlais mais … je n'y arrive pas. J'ai peur … peur de le perdre, peur de sa réaction.

    Je l'aime, je tiens tellement à lui je ne pourrais pas le supporter.

    -Je vois, si tu veux être fixé dit lui tout. Tu seras libéré de ce secret. Et puis tu sais je pense que Maxime va juste ce sentir un peu perdu et avoir besoin de réfléchir mais je ne pense pas qu'il réagira  vraiment mal. Peut être que sur le coup il va te dire des choses pas très sympa  mais il ne les pensera pas.

    -Tu as raison, après tout je ne veux pas vivre plus longtemps dans le secret, je veux pouvoir lui dire que je suis la fille à laquelle il me compare des fois et que si on se ressemble tant c'est parce que nous ne sommes qu'une seule et même personne.

    -Alors vas-y fonce Chipie et confiance en toi et courage !

    -Merci.

    Je suis partie en courant vers le jardin, il était la près de la fontaine. Il n'y avait que lui.

    J’inspire et expire, aller il faut y aller.

    Je m'avance, il entend des pas et se retourne.

    -Éléonore ?

    -Oui. Maxime il faut que je te parle.

    -Oui qu'y à t'il ?

    J'étais stressée, il fallait que je le fasse.

    -Il y a quelques chose que je ne t'ai pas dit, et que j'aurais peut être dû. Mais je ne regrette pas. J'ai réappris à te connaître, tu n'as pas changés.

    -Je ne comprends pas trop ce que tu me racontes.

    -J'ai du mal et je ne pense pas être capable de te le dire alors pourrais-tu sortir le collier que tu porte s'il te plaît ?

    -Oui mais pourquoi?

    A mon regard il dû comprendre et il sortit donc son collier. Je m'approche et détache le miens.

    Je les rapproches et les assembles.

    -Je … je suis Éléonore, celle que tu as connu dans ton enfance. J'ai très vite compris qui tu étais. Si je n'ai rien dit c'est parce que je me suis dit que tu avais peut être changé pendant toutes ses années.

    -Tu... pendant tout ce temps … tu m'as mentit, tu ne m'as rien dit. Tu …

    Je baisse le regard et des larmes commence à coulées.

    Je le vois déçu, perdu, il ne réalise pas ce que je lui est fait, il m'en veux et je m'en veux moi aussi .

    Il part et je ne peux plus me retenir je m'écroule et pleure.

    Émilie arrive suivis de tout les autres … Antony et Léon vont chercher Maxime.

    Il était prévu qu'ils viendraient dormir chez moi. Cela ce fit mais Maxime ne me regardait pas , il ne me parlait pas … il m'ignore, je ne le supporte pas je souffre.

    -J'ai pas envie d'aller me coucher il est encore tôt.

    -Moi pareil.

    -Ils n'ont pas tord.

    -Et si on jouer ?

    -Ouai à action ou vérité.

    -Je marche.

    -OK pour moi.

    -Je suis partant.

    Ils ce sont tournés vers nous.

    -OK.

    -C'est bon pour moi aussi.

    -On monte ce mettre en pyjama et on joue.

     

    Nous nous sommes exécuté.

     

    Je n'étais pas vraiment d'humeur à joué mais bon .

    Deux ou trois personnes sont passés puis ce fut a mon tour.

    -Action ou Vérité ?

    -Action pour changé.

    -OK tu dois embrassé un garçon mais il ne doit pas être en couple.

    Elle l'avait fait exprès … le seul garçon qui était encore célibataire dans la pièce c'était … Maxime. Elle est gentille elle a sûrement voulu m'aider mais …

    Je ne me sens pas bien je sens que je vais pleuré. Je regarde Maxime. Il ne me regarde pas, …

    Je me lève et part en courant dans ma chambre. Je referme la porte derrière moi et me jette sur mon lit et pleure...

     

    Comme il y a de nombreuse années quand nous avons été séparé. Je l'aime et j'en souffre, il m'ignore et je ne peux pas le supporter. J'ai du vivre sans lui cela à été affreux mais le voir, l'entendre … et qu'il ne me regarde même pas et surtout le fait qu'il me déteste je ne peux pas le supporter.

    En bas Annie devait se faire remonter les bretelles …

     

    Que va-t-il se passer ? Vous voulez le savoir ? Cela n'a pas changé si vous voulez le prochain chapitre il faut des commentaires .


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