• Chapitre 35

     

    J'avais passé la nuit à pleurer. Bien sûre la plupart de mes amis étaient montés, mais j'avais refusé d’ouvrir de sortir et même de parlé. Je n'avais ni la force ni l’énergie, en fait je n'avais rien.

     

    Une semaine c'est écoulé et plus le temps passe plus je me sens accablée. Il ne me calcule pas. Son comportement envers moi n'a pas changé. Je sens mon cœur se détruire au fil du temps. Je n'ai jamais autant souffert. Je voudrais pouvoir sortir de cette torpeur de souffrance et de larme.

    J'étais en cours de français. Une est chose est sûre, s'il y a bien une chose que je ne faisais pas c'est bien écouté.

    J'écrivais, je mettais mes sentiments sur papier comme je l'ai toujours fait.

    (Avec un regard triste et perdu dans ses pensées)

     

    Je souffre en silence

    Pour moi la vie n'a plus aucun sens,

    Mon monde tourne autour de toi

    Et c'est avec mes larmes que part ma joie.

     

    La tristesse m'a envahie

    Et j'ai l'impression que c'est pour la vie,

    Malgré les efforts personne ne comprends

    Ce que je ressens réellement.

     

    C'est derrière un masque souriant que j'essaye de ma cacher

    Car je ne veux pas les inquiéter,

    Tout au fond de moi plus rien ne va

    Depuis que tu fait comme si je n'étais pas là.

     

    Si tu savais combien j'ai pleurer

    Souhaitant que cela ne recommence plus jamais,

    Pourtant mon cœur se rebrise

    A la vitesse que le temps file.

     

    Je veux repartir la bas

    Dans la passé,

    Ou tout a commencer

    Pour qu'à nouveau je sois dans tes bras.

     

    La sonnerie retentit enfin, la semaine se termine enfin. C'est décidé je veux y retourné.

    Je rentre chez moi, mais je passe une dernière fois devant chez lui, celui qui brise mon cœur .

    Je rentre, je fais mes valises, et commande une pizza je n'ai pas la force de cuisiner ce soir.

    Ma soirée se passe comme toute celle que j'ai passé depuis ce jour.

     

    Le lendemain :

    Ce matin je le suis levée tôt, je me suis préparé :

     

    (Sans le sac, et la bague)

    Puis me suis rendu a la gare et je prends mon train.

    Je suis dans le train, je vois le paysage défilé, je ne dors pas beaucoup depuis un moment et a force d'accumulation de fatigue je m’assoupis. De toute façon je n'arriverai que dans quelques heures, et dormir est une façon comme les autres de faire passer le temps.

     

    Du côté de Maxime :

    Encore un week-end infinissable. Mon portable sonne et je décroche...

    -Allô ?

    -Oui Maxime je t'appelle parce que Éléonore à disparu, elle a dit au filles hier qu'elle n'avait rien de prévu et elle n'est pas chez elle. Et puis tu la connais à cette heure elle devrait être au lit en train de roupiller.

    -Oui et alors ?

    -Arrête ton comportement de gosse, oui elle t'a  caché la vérité , mais si elle a fait ça c'est pour attendre un peu et te redécouvrir. Tu ne sais même pas ce qui lui est arrivé, comment elle a vécu nôtre départ alors arrête. Tu sais combien j'aime la faire chier et que je ne la défend pas mais là . Donc si tu la vois ou autres préviens nous on s'inquiète nous, parce que toi tu l'as peut être oubliée mais nous pas et on tient à elle .

    Puis Antony raccrocha.

    Maxime réfléchissez encore et encore.

    Il n'y avait que du vrai dans ce qu'il a dit.

    Depuis qu'elle lui avait révélé la vérité il ne lui parler plus, il ne l'a regarder que discrètement du coin de l’œil de façon à ce qu'elle ne le remarque pas. Il l'observer perdu dans ses pensées, triste , il lui en voulait, mais il s’en voulait également à lui même. Depuis qu'elle était arrivé il avait l'impression de trahir, d'oublier la petite fille qu'il avait connut, il s'en voulait de découvrir des sentiments naître en lui pour cette ravissante, adorable … jeune fille qui du jour au lendemain était apparut dans sa vie et avait un peu tout bousculé.

    Maxime passa une bonne partie de la journée chez lui. Puis il décida de sortir vers 15H00.

    Lorsqu'il sortit il vit un petit papier blanc, il l'ouvrit...

    -Aucun doute il sagit de l'écriture de Éléonore et … elle a du pleurer on voit la trace de larme.

    Il la lit et commence sérieusement à penser qu'il a été idiot … Il l'aime, oui il lui en veut mais ce n'est pas une raison pour agir comme il l'a fait et surtout pour la faire souffrir ainsi.

    Il réfléchit et se rappelle tout à coup le coup de téléphone de Antony.

    -Disparu …

    Il relit encore et encore ce poème.

    -Elle a du le laisser tomber mais quand ? … Non pas possible elle n'aurai quand même pas …

    Il retourne chez lui prépare des affaires et part en direction de la gare en quatrième vitesse.

    Il envoi un message à Antony :

    J'ai trouver un poème devant chez moi, elle a du le faire tomber. Je crois savoir ou elle est, je part la chercher.

    Arriver à la gare il prends son train pour la rejoindre.

     

    Du côté de Éléonore :

    Il est 14H00 et elle est partit à 9H00 et pendant les 5 heures de rail (ben quoi) elle a dormit.

    -Me voilà enfin arriver.

    Elle part à pied, pas question de prendre un taxi.

    Il lui faut 2H00 pour rejoindre le lieu pour lequel elle a fait tout ce voyage.

    Après ce très long moment de marche à pied et quelques pose entre, elle est enfin arrivée. Elle se retrouve devant ce qui fut pour elle un endroit de joie. Elle était heureuse de revenir, elle voyait ses souvenirs défilés devant elle mais dans cette nostalgie il y avait bien évidement du bonheur mais aussi de la tristesse, la tristesse qu'elle avait ressentit quand ils c'étaient quitté, mais aussi en repensant à la situation qu'elle vivait.. Elle rentre dans la propriété, et se dirige vers un coin particulier du jardin, elle passe derrière un buisson et arrive devant une porte. Une entrée, elle et les garçons avaient autrefois chercher tout les passages secrets qu'il puisse y avoir et ils en avait trouvé un bon nombre. Une fois dans l’immense demeure, elle visite ou plutôt revisite ce qui fut été la maison de Maxime et Léon et en quelques sortes celle de Antony. Une fois terminer elle ressort par une porte qui donne sur l’arrière de la demeure. Elle se dirige vers le petit bois qui se trouve face à elle. Ce bois dans lequel elle a passé beaucoup de temps. Elle s’assoit au pied d'un arbre et sort d'un des sacs qu'elle a emporter, tout plein de souvenirs en tout genre, photo, lettre, dessin ...

     

    Pendant ce temps du côté de Maxime :

    Il était arrivé à la gare. Le train avait du retard et avait eu quelques problèmes en route ce qui ne faisait pas son affaire. C'est à 21H00 qu'il arrive . Il part en direction de l'endroit ou il a passer son enfance. Il trouve finalement un taxi qui le conduit au lieu souhaiter. Il arrive à 22H45. Tout comme Éléonore l'a fait précédemment il entre dans cette battisse ou il a grandit, cela lui fait tout drôle. Il monte dans la pièce qui fut autrefois sa chambre. Son attention fut capté par un objet qui brillait. Il se rapproche et le ramasse. Il fut un peu étonnés. Ce bijoux, c'est l'autre partie du cœur qu'il porte autour du coup. C'est donc celui de Éléonore, ce qui confirme ces pensées, elle est bien là elle aussi.

    -Si le collier est là, elle ne doit pas être loin, je sais qu'elle ne sans sépare jamais. Je pense savoir où elle se trouve, j'en suis même certain.

    Il descend les escalier qu'il eu emprunter quelques secondes auparavant , et sort a son tour pour rejoindre le petit bois...

    ( Je m'excuse auprès de mes prevenues, mais ma boite de message ne veut pas s'ouvrir, désolé)


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