Chapitre 22

( l'homme 1 et l'homme 2)

En le voyant je suis resté sur place. Maxime me prit la main . Mais … je crois qu'il pense que c'est une personne qui me veut du mal ou un truc dans le genre. Je le regarde et lui sourit. On avance un peu. On se retrouve à quelques pas de lui. Je lâche la main de Maxime et m'élance en courant vers lui et je lui saute dans les bras. Il me fait tourné et me serre fort dans ses bras. Maxime se rapproche. On se lâche et je vois que Maxime ne comprends pas trop.

• Qu'est-ce-que tu fait là.

• Je suis venu te voir c'est évident. Tu nous manques énormément.

• Vous aussi vous me manquez.

• Euh … Éléonore.

• Ah je ne t'avais pas vu jeune homme excuse moi.

• Ce n'est rien.

• Et bien ma chérie, je vois que tu ramène déjà des garçon à la maison. Tu n'est pas un peu jeune et puis tu m'as vite remplacer.

• Arrête de dire des ânerie pareil.

• Mais c'est vrai tu es encore si petite.

• J'ai 16 ans je te rappelle.

• Oui je sais mais tu es encore trop jeune pour avoir un petit copain. Et puis tu ne m'as jamais présenté à ce jeune homme. On va avoir une petite discussion je ne la laisse pas au premier venu.

• Euh …

J'étais rouge de honte, si seulement il savait ce qu'il est en train de dire. Et je vois que Maxime à l'air très gêné.

-Papa !!!

-Papa ?

-Oui ma chérie.

-Arrête de dire des bêtises plus grosses les une que les autres.

-Mais qu'est-ce-que j'ai dit encore.

• Bon si on entré comme ça je ferai les présentations correctement.

• Ça me vas.

• D'accord.

• Mais attends deux petites seconde.

• Quoi ?

• Tu peux sortir.

  Je vis sortir un homme du coin de la rue. Je n'y crois pas .

• Papa tu sais quoi … tu es génial !

• Je sais, je sais. Bon allez vas-y court. Je sais très bien la complicité que vous avez.

J'ai hoché de la tête et le jeune homme que j'avais vu apparaître n'était plus qu'à quelques pas de nous.

Je me suis précipité vers lui. Il ma serrer dans ses bras. Voyant que je ne le lâchais pas il m'a porté jusqu'à mon père.

Maxime tirait une tête étonné, choqué, plein de choses mais je pus voir de la peur mais surtout de la jalousie.

-Je vois que ma surprise te plaît. Dit-il avec un petit rire.

Je décidais enfin de le lâchait.

-Tu peux pas savoir. Bon si on rentré ?

Tout le monde accepta et nous sommes donc entré à l'intérieur.

Nous nous sommes installé.

-Bon alors je vous présente Maxime, Maxime je te présente mon père et Georges.

-Enchanté.

-De même.

-Bon alors mettons les choses au clair de suite papa, Maxime n'est pas mon petit ami mais un ami. Mes ami(e)s et moi avons été invités à un mariage et comme il était mon cavalier il m'a raccompagner .

-Ah … et bien excusez moi.

-Je suis content que tu te sois faites des ami(e)s .

-Oui mais bon...

-Je sais. Sinon tu nous manques à tous . On s’ennuie sans tes blagues, tes bêtises tes petit coup de pouce …

-Mais vous aussi vous me manquez tu peux pas savoir.

-Oh que si on le sait puisque on le ressens.

-Tu diras bonjour à tout le monde et tu leur fera de gros bisous.

-Je n'y manquerez pas.

-Merci . Sinon qu'elle est la raison de vôtres venus. Surtout que tu es sensé être en voyage.

-Je suis là car je vois que ta mère t'a appelé.

-Oui.

-Je suis désolé je ne l'est appris que hier soir.

-Ce n'est pas grave. Je suis habitué. Mais ma réponse ne changera pas.

-Je le sais . Et en ce qui concerne ta mémoire.

-Ta mémoire ?

J'étais un peu gêné .

-Tu ne leurs a pas parlé.

-Non …

-Parlé de quoi.

-J'ai eu un accident il y a 6 ans de ça et j'ai perdu des fragments de ma mémoire. E particulier ce qui concerne des amis d'enfances que j'ai eu et auxquelles je tenais énormément. Et pour te répondre, je l'ai retrouvée . Entière je ne sais pas mais beaucoup de choses se sont éclaircies et sont revenues. Bon euh … il se fait tard et si on allait ce coucher ?

-Oui je suis mort de fatigue.

-Moi aussi.

-Bon je vais vous laissez . A plus tard Éléonore .

-Attends ! Il est super tard . Je vais pas te laisser repartir à cet heure. Reste dormir.

-Euh …

-Vous n'y voyez aucun inconvénients ?

-Qui nous ? Non aucun.

-Bon c'est réglé.

-D'accord merci.

-Bon suivez moi je vais vous montrez vos chambres.

Je leurs et donc donner une chambres à chacun .

Et je suis parties me démaquiller, me décoiffer, et me changé.

J'enfile mon pyjama et … bon je ne me sens pas fatigué je vais descendre en bas.

Je descend au salon et vois Maxime.

-Tu n'arrives pas à dormir ?

-Non, toi non plus apparemment.

-Oui .

Le silence régnait. Je me suis dirigeais vers le frigo. J'ai pris le lait et le sirop de grenadine. J'ai attrapé un verre et j'ai mis du sirop puis le lait. J'ai pris une cuillère et j'ai mélangé. Puis j'en bu.

-C'est bon ?

Je lui est tendu mon verre.

-Goûte !

Il l'a pris et à son tour en a bu.

-C'est pas mauvais.

-Si tu en veux je t'en prépare un verre.

-Je veux bien merci.

Je lui est donc préparé.

-Je vais regardé un film, je sens que je ne vais pas réussir à m'endormir. Tu veux venir.

-Je veux bien merci.

On à pris nos verre puis nous nous sommes installés sur le canapé.

-Tu veux voir quelques choses en particuliers, si oui quoi ?

-Non tu n'as qu'à choisir.

-Tu es sûre ?

-Oui.

-Bon ben tant pis pour toi.

J'ai pris … Twilight .

Il n'avait rien dit.

Nous en étions vers la moitié du film. Je commencer à avoir froid. C'est pas pour dire mais mon pyjama n'est pas mon plus chaud.

J'en ai pris un au hasard et j'aurais pas du. De plus j’étais à côté d'un garçon. De plus le garçon que j'aime. Bien que je sais qu'il ne me fera jamais rien. C'est que je suis pudique moi ! Et être en pyjama à ses coté c'est gênant. Quoique lui il est en caleçon et T-shirt. Je trembler un peu et il le remarqua .

-Tu as froid ?

-Euh … un peu mais ça va.

-Viens.

Il me tendait ses bras. Je n'osais pas . Et ces paroles me rappelait le premier cours de musique. Voyant que je ne bougeais pas . Il me prends par la taille. Et je ne sait pas comment mais je me retrouve entre ses jambes. Je suis rouge de gêne. Ses bras entoure ma taille. Il pose sa tête sur mon épaule. Je ne bouge plus.

-On est bien là. Et puis tu devrais un peu te réchauffer.

Bien que je sois gênée je ne dit pas que ça me déplaît.

Le film se termine et nous sommes crevés.

Je ramène les verres, éteint la télé...

On monte les escaliers.

-Euh … Éléonore ?

-Oui quoi ?

-J'ai oublié ou ce trouve ma chambre, tu pourrais me montrer.

-Oh, je suis crevés. Bon tu sais quoi ?

J'ai ouvert la porte de ma chambre et je l'ai entraînait avec moi.

-Tu vas dormir avec moi.

-Mais …

-C'est gênant pour moi aussi mais je suis trop fatigué.

-D'accord.

-Bon couche toi prends le côté que tu veux moi j'ai un dernier petit truc à faire.

J'ai pris un papier sur lequel j'ai noté :

Papa, George, ne me réveillais pas. Hier soir je n'arrivais pas à m'endormir, je suis donc descendu à la cuisine boire mon mélange sirop de grenadine et lait. J'ai croisé Maxime qui lui non plus ne trouvait pas le sommeil. Nous avons donc regardé un film. Nous sommes remontés mais il ne se souvenait plus où était sa chambre. J'étais si fatigué et la maintenant je le suis même en étant en train d'écrire ce message. Donc il à dormit avec moi puisque étant trop fatigué pour lui montré il est resté. Donc on dort ensemble mais je vous en ai expliqué la raison avant que vous n'en fassiez toutes une histoire. Voilà maintenant silence on dort. Et de toute façon si vous aviez l'idée de prendre des photos ou autres la porte est fermé à clé. La serrure bouchée et tout les autres accès eux aussi fermé sinon à plus tard je vous embrasse.

Éléonore, Bisouxxx

Bon le message bien mis sur la porte je part à mon tour me coucher.

-Tu faisais quoi ?

-J'écrivais un papier pour mon père et George pour pas qu'ils nous réveillent demain matin et qu'il ne se fassent pas des idées.

-Ah OK.

-Je les connais par cœur.

-Dit c'est qui ce George pour toi ? Enfin si c'est pas trop indiscret.

-Non non . George est le majordome, il est très gentil et à toujours été là pour moi . Je le considère comme mon ami.

-Ah d'accord.

-Bon je suis épuisée, bonne nuit.

-Merci toi aussi.

Je commençais à me sentir partir mais avant j'ai sentis Maxime me prendre dans ses bras. Cette sensation m'étais familière. Ben vous savez quoi je vais en profité, je me blottit contre lui, il resserre son étreinte.

Et c'est ainsi que se termine se chapitre.

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