Chapitre 40

Nous étions tout les deux assis contre l'arbre. J'ai la l'enveloppe entre mes mains. Je décide de l'ouvrir et d'en sortir la lettre.

Lorsque je l’eus déplier je reconnu immédiatement l'écriture de ma mère.

-C'est … l'écriture de ma mère.

Il eu l'air aussi surprit que moi.

-Lis-la.

J'ai hoché la tête en signe d'approbation et commença la lecture.

Éléonore,

Si tu lis cette lettre c'est que tu as rencontré Jules. Il y a quelques mois je t'avais téléphoner pour te parlé d'un jeune homme, c'est de lui dont je parlais. Comme tu as pu le voir c'est un très beau jeune homme. J'ignore si tu as appris à le connaître. Mais tu verras il est très gentil et est très intelligent. Vos fiançailles se font et je ne laisserai pas tomber. Tu as 16 et en aura 17 dans quelque mois. Il est tant, et tu es assez grande pour ne plus faire de caprice. Donc il faut mieux te résigné et apprendre à le connaître avant que vos fiançailles soit officielles. Un jour tu me remerciera. Et pour ce qui est de tomber amoureuse … ainsi que toute ses sornettes tu comprendras que cela ne t'apportera rien et au mieux tu tombera sous le charme irrésistible de Jules.

Ta mère.

En lisant cette lettre mon visage c'était décomposé. Je n'y croyais pas. Comme elle savait que je refuserai de le voir et de le rencontrer elle c'est débrouiller qu'il vienne me voir mais que je ne sache pas qui il est. Et le lycée est une excellente opportunité qu'elle n'a pas laissait filé. Alors c'est Jules …Malheureusement cette fois elle a l'air beaucoup plus déterminée, mais je ne la laisserai pas gagné. J'aime Maxime … jamais je ne pourrais. Des larmes commencent à coulées.

Maxime avait lu la lettre en même temps que moi. Il était choqué.

Du côté de Maxime :

Alors c'est ce mec, avec qui la mère de Éléonore veut la fiancée ?

Je … ne pourrais pas le supporter. Je ne sais pas trop pourquoi … rien que d'imaginé qu'ils puissent être ensemble m'est impossible.

Je la regarde , et je la vois qui commence a pleuré.

Je la prend instinctivement dans mes bras .

Côté de Éléonore :

Il me prend dans ses bras, je lui rend son étreinte. Non , je ne veux vraiment pas de ses fiançailles et je ne la laisserai pas faire.

-Maxime !? Tu la prend dans tes bras après ce qu'elle a fait?

Ah moins que tu ne sois pas au courant .

-Cynthia dégage !!!

-Qu'est-ce-que j'ai fais ?

-Tu a le culot de me le demandais en plus ?

Tu as ramené ton fiancé et tu oses encore à agir comme ça avec Maxime !

Je ne lui répond pas et je pars en courant … Elle a raison, sauf que je ne l'ai pas ramené, je ne le connais pas, je ne l'aime pas, je ne veux pas de ces fiançailles... et puis comment elle est au courant de ça. Si elle le sait elle risque de le dire à tout le monde ...

Je me suis dégager des bras protecteur de Maxime et je suis allais m'asseoir contre un mur.

-Je peux m'asseoir ?

Je relève la tête et vois Jules.

-Qu'est-ce-que tu veux ?

-Juste discuter avec toi ?

-D'accord, vas-y.

Une fois assis, il entama la discussion.

-Tu as lu la lettre ?

-Oui …

-Je ne sais pas ce qu'il y avait dans cette lettre mais je m'en doute.

Je la lui tendit.

-Tu … tu me laisses la lire ?

-Oui, ça te concerne autant que moi et puis cette lettre serai d'une étrangère ce serai pareil.

Il m'a regardait tristement et à prit la lettre et la lu. Puis il me la rendit.

-Donc tu ne veux pas de ces fiançailles ?

-Non … ce n'est pas contre toi. Mais je ne te connais pas et

-Tu n'as pas à t'excuser ni a te justifier. Et pour être franc avec toi je suis assez soulagé.

-Hein ?

Je fus surprise et je n'y compris pas grand chose.

-Tu es très belle, tu m'as l'air gentille, intelligente et pleine d'autre qualités . Ce pendant mon cœur est déjà prit . Et ça aurait été embêtant si tu avais été d'accord. Donc je suis soulagé d'entendre ça . Et puis ton cœur et déjà prit n'est-ce-pas ?

-Je suis contente que l'on soit du même avis.

Et … euh … oui.

Répondis-je en rougissant.

• Le seul problème c'est que nos fiançailles sont toujours d'actualités même si nous sommes tout les deux contres.

• Oui. Mais j'ai peut être une idée.

• Je t'écoute .

• Non pas ici, et puis ça va sonner et de toute façon si mes ami(e)s venaient à entendre ils voudraient nous aidés et bien que je les aimes beaucoup il faut mieux qu'il reste en dehors de tout ça.

• D'accord, on fait comment alors?

• On échange nos numéros .

  Après que cela fut fait. Nous nous quittâmes. Je croisa Maxime 2 petites minutes plus tard.

• Où tu étais passé ? Pourquoi tu es partit comme ça ? Ne part plus comme ça je te cherche et je m'inquiète.

• Désolée …

• Aller viens-là.

  Me dit-il en ouvrant ses bras pour que je m'y installe.

  Je dois absolument arrêter ces fiançailles pour moi mais aussi pour lui. Pour nous ...