Chapitre 26

Bon aujourd'hui nous sommes Samedi, mais j'ai prévu avec mon père d'aller les voir ce week-end.

Je suis dans le train et je lis un livre que j'ai empruntée à la bibliothèque. Tiens mon train arrive je rentre mes affaires et sors du train lorsqu'il s’arrête. Je me dirige vers la sortie. Je vois George qui m'attends.

-Salut tu vas bien ?

-Bien et toi ?

-Super.

-Tu sais tout le monde c'est levés au aurore pour ton arrivée. Tu nous à tellement manqué que …

-Vous aussi. Je suis contente de revenir un petit week-end. Et tu dis tout le monde... vraiment tout le monde ?

-Oui vraiment tout le monde.

Je souriais, il y avait une servante qui se plaignait tout le temps de moi il faut dire que j'aimais bien la taquinée. Et sont fils à 2 ans de plus que moi. Il est plutôt mignon et je dois avoué que si je n'aimais pas Maxime il y aurais eu possibilité pour que je tombe sous son charme.

-Et sinon avec tes ami(e)s .

-Merveilleusement bien.

-Bon . Et … dit moi ce garçon …

-Maxime …

-Oui …

-Bon ne tournons pas autour du pot. Oui je suis quasiment sûre qu'il est le garçon que j'ai connu.

-Il est vrai que lorsque je l'ais vu j'ai été étonné de voir la ressemblance.

-Oui mais comme je te  le disait avant mon départ je ne voyait pas les visage. Et bien que je sache à quoi il ressemblait par les photos...

-Oui … Sinon je suis content que tu l'es enfin retrouvée.

-Moi aussi.

-Et tu lui a dit .

-Non... Pour l'instant, mes amie filles je précise le savent et aussi Aaron je pense que Antony et Léon on des doutes . Peut être Maxime aussi. En attendant aucun des trois n'est venu m'en parlait.

-Mais pourquoi tu ne lui as rien dit ?

-Parce que lorsque je l'ais rencontrée il m'a très rapidement parlé de 'Éléonore' de cette fille à qui je ressemblais, … J'étais heureuse car il se souvenait de moi. J'ai su qu'il à gardé tout plein de souvenir de moi.... Mais nous avons tout les deux grandit et changé. Je me suis simplement dit que je voulais qu'il m'apprécie pour celle que je suis aujourd'hui bien que je ne pense pas avoir changé tant que ça . Et apprendre à le connaître comme il est maintenant et pas le jugé sur ce qu'il était .

-Je comprend . Tiens nous arrivons.

-Oui regarde tout le monde et dehors.

-Ils t'attendent.

Lorsque la voiture c'est arrêter je suis sortit et j'ai pris tout le monde dans mes bras.

La journée c'est merveilleusement bien passée. J'ai fait plein de choses qui mon beaucoup rappelé mon enfance. Et mes bonnes vieilles habitudes.

Nous sommes Samedi soir et je me suis discrètement faufilé dans le grenier.

-Ouf, je voulais être sûre que personne me vois.

-Ben c'est loupé.

Je sursauta et me suis retourné. Qu'il m'a fait peur cet imbécile.

-Idiot va, tu veux me faire faire une crise cardiaque ou quoi ?

-Que fait-tu là ?

-Oscar je suis chez moi je vais ou je veux je te signale.

-Oui mais pourquoi tu ne voulais pas que l'on te voie.

-Pour pas que l'on me pose de question.

-Ah ben c'est loupé.

-Merci j'avais remarqué. Et toi que fait tu là.

-J'aime bien venir ici.

-OK .

Je me suis dirigé vers les étagères … Non pas là . Puis vers les coffres.... Non plus.... Puis vers tout ce qui à des portes … Non plus, pas là, là non plus....

-C'est pas possible, elles ont pas pu s'envolaient tout de même.

-Que cherche tu poupée.

-Déjà arrête avec ce surnom et je  me débrouillerai toute seule.

-Comme tu voudras.

Je cherchais encore et encore … puis tout à coup j’eus une révélation. Je me suis retournée vers Oscar.

-Ben que t'arrive t-il tu as eu le coup de foudre ou quoi ?

-Arrête tes bêtises et pousse toi de là .

-Pourquoi ?

-Parce que je penses que ce que je chercher est là.

-Ben pousse moi.

Il est désespérant. Ce n'est pas pour dire mais il est grand.

Mais j'avais une idée. Il aimé me taquiner et ça devait lui manque de ne plus pouvoir le faire. Il est aussi  joueur, mais timide. Je me dirige vers lui et me place entre ses jambes. Il paraît très surpris.

-Tu … fais quoi là ?

-Ben tu veux pas bouger alors au moins fait moi un câlin . Tu m'as beaucoup manqué.

-Euh …

Il était gêné est je le sais. Et  j'en jouais. Puis il me serra finalement dans ses bras.

-Tu m'as manquée aussi, tu sais je ne m'en suis aperçu qu'après ton départ  mais...

-Oscar...

-Non laisse moi finir...J'ai besoin de le dire … De te le dire . Je me suis rendu compte que je t'aime.

Il me serra encore plus fort et m'embrassa dans le cou. J'étais étonnée je ne m'y attendais pas . Jamais je n'aurais imaginé qu'il est ses sentiments envers moi. Ce qui me faisais le plus de peine c'est que j'allais être obligé de le repoussé... J'aime Maxime. Il est vrai qu'il ne sera pas le premier que je rejetterai mais la personne la plus proche de moi. Ça me fait de la peine. En tout de ma naissance à mes 10ans j'ai rejetais 7 garçons et 12 si on compte les garçons avec qui je n'ai pas voulu me fiancée . Et de mes 10 à mes 16 ans 8 plus 2 ou j'ai refusé de me fiancée ce qui fait 10 donc au total 15 sans ou 22. C'est déjà beaucoup mais pas de chances moi je suis ce que l'on appelle quelqu'un de populaire alors que je ne demande rien et ne fait rien pour... Bon revenons en à nos moutons.

-Écoute Oscar...

-Tu l'aimes toujours n'est ce pas ?

-Oui …

-Je vois... je ne t'en veux pas je sais très bien que face à lui je n'ai aucune chance.

-Je suis désolé.

-Pas grave... sinon ce que tu cherche c'est tout les souvenirs que vous avez ensemble. Ta mère les avait cachés pour pas que tu ne les emporte.

-Oui.

-Je peux savoir pourquoi ?

-Tu es sûr …

-Oui, tu sais je te connais et me dire que c'est pas possible nous deux c'est difficile pour toi. Et puis ce n'est pas de ta faute . Tu l'aimes et c'est tout .

-Merci . Et bien je suis Quasiment sûr de l'avoir retrouvé et …

-Tu as sentis le besoin de voir, ou plutôt revoir, sentir, … ses souvenirs.

-Oui .

-Bon...

Il m'a soulevé. Et ma embrassé sur la joue .

Il à soulevé le drap qui a dévoilé un super coffre. Je l'ai ouvert et tout y était. Tout en double. J'avais pris une valise en trop exprès. J'étais aussi venu pour ça. J'ai pris tout les doubles.

-Merci .

-De rien .

Je suis descendu et suis repartit dans ma chambre. Le reste de la journée ainsi que le dimanche c'est passait tout à fait banalement. C'est l'heure du départ. George ne pouvait pas me raccompagné c'est donc Oscar qui le fait.

Nous attendons mon train. Le voilà qui arrives.

-Bon je crois que c'est l'heure.

-Oui.

Il m'a prit dans ses bras et ma serrer très fort et je lui est rendu son étreinte.

-Attends. Si tu mets une gifle je comprendrais et ne t'en voudrais pas mais tant pis . Ça en vaut la peine...

Après avoir prononcer ces paroles pas très clair, il …

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